J'ai dit " Maquettes " et non découpage ! ( principe )
Principes et historique d'une passion.
Tout petit déja.
Quand j'étais gosse, il avait au dos de certains emballages ce que l'on appelait des découpages. Je me rappelle en avoir réalisé quelques uns l'été, dehors, sous une avancée de toît où mon père garait le camion.
Si l'épisode découpage aux ciseaux ce passsait bien, quoiqu'en prélude je me fisse engueuler pour avoir chappardé le meilleur outil de couture de ma mère, la deuxième phase: le collage ne donnait pas toujours les résultats escomptés.
En effet, vu que je préparais ma colle avec des restes servants ordinairement à la tapisserie selon mes dosages à moi, étalé avec un vieux - des plus petits - pinceaux du grand père ce dernier ne faisant pas dans la dentelles, je vous laisse imaginer.
J'ai oublié de préciser - important pour l'ajustage - que je sortais les pièces avec les grands et gros ciseaux servants habituellemnt à défaire le poisson....
A 5 ou 6 ans, je ne me souviens plus des dates exactes, j'étais content et fière de construire quelque chose de mes mains même en carton, le Pépé faisait bien des maisons !
Donc, comme on crépit une maison, il fallait que je donne une touche finale au tas de boue en papier maché devant moi qui dans mon imagination était la dernière Peugeot du Tonton où une maison de poupée pour mes soeurs.
Le résultat était le plus souvent une raclée par ma mère tant il y avait de peinture partout dans l'appartement, pas ma faute, les robinets d'eau pour diluer mes pastilles à 1 franc se trouvant l'un à la cuisine, l'autre beaucoup plus discret mais loin était dans la salle de bain.
Incroyable ce qu'on peut décorer avec 10 rondelles de couleur !
Bien entendu, mon chef d'oeuvre finissait à la poubelle et moi sous la douche.
PS:
Pour les Papers-pros, je n'ai pas parlé de temps de séchage: Y en avait pas.